Italie : l’exil sans fin d’un géant du football mondial

  1. Hall of fame Roberto Carlos

    Hall of Fame : Roberto Carlos, le seul "Galactique" qu'on ne pourra jamais cloner

    Dans un football moderne obsédé par la standardisation et les statistiques, il est bon de se rappeler qu'il y a trente ans, un homme avait déjà tout réinventé. Roberto Carlos n'était pas seulement le meilleur latéral gauche de l'histoire, il était une anomalie physique et technique qui défiait la logique. Alors que le football cherche désespérément des successeurs aux légendes du passé, le Brésilien reste l'unique exception à la règle : personne n'a jamais pu, ni ne pourra jamais, reproduire ce qu'il a fait.

  2. Six journées de C1 et déjà des certitudes : notre classement complet des 36 équipes

    Après trois mois de compétition et six journées marquées par pas moins de 108 matches, cette Ligue des champions commence enfin à devenir lisible. Les tendances se dessinent plus clairement : les équipes en mesure de se qualifier directement pour les huitièmes de finale, celles promises aux barrages, et celles qui flirtent dangereusement avec une élimination prématurée.

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ANALYSES

  1. Trop fort pour être viré, trop franc pour rester ? Le paradoxe Maresca

    Mardi soir à Cardiff, les supporters de Chelsea scandaient le nom d'Enzo Maresca après une victoire en quart de finale de Carabao Cup. Une scène banale pour un coach vainqueur de trophées ? Pas à Chelsea. Quelques jours plus tôt, l'Italien avait lâché une bombe en conférence de presse, évoquant les « pires 48 heures » de son mandat à cause d'un « manque de soutien », sans jamais nommer les coupables. Alors que son bilan sportif est solide (Coupe du Monde des Clubs, Conference League), cette sortie médiatique et les rumeurs l'envoyant à Manchester City suggèrent que Maresca pourrait chercher une porte de sortie plutôt que de se battre contre ses propres dirigeants.

  2. Un Kaiser en or : la nuit où Beckenbauer a écrit l'histoire à Rome

    Rome, une nuit magique. Alors que l'Allemagne célèbre son troisième titre mondial en 1990, un homme s'extrait doucement du chaos ambiant. Franz Beckenbauer — mains dans les poches, médaille d'or autour du cou — traverse seul la pelouse du Stadio Olimpico, perdu dans ses pensées pendant que ses joueurs exultent. Un îlot de calme au milieu de l'euphorie, le dernier acte d'un empereur du football.

  3. Hugo Ekitike est-il le "poster boy" que Liverpool cherchait désespérément ?

    Samedi dernier, Anfield a peut-être assisté à une passation de pouvoir symbolique. Alors que Mohamed Salah s'apprête à rejoindre l'Égypte pour la CAN, laissant derrière lui un climat tendu avec Arne Slot, un autre nom a résonné dans les travées du stade. Hugo Ekitike, arrivé cet été avec une étiquette de pari coûteux, est en train de s'imposer comme l'attaquant numéro un des Reds, éclipsant totalement la recrue star Alexander Isak. Avec des statistiques affolantes et une attitude métamorphosée, le Français de 23 ans a les épaules pour porter l'attaque de Liverpool en l'absence du Pharaon, et peut-être même pour lui succéder à terme.

  4. N'Golo Kanté : itinéraire d'un voleur de ballons au grand cœur

    Dans un écosystème du football dominé par les ego surdimensionnés et le bling-bling, N'Golo Kanté fait figure d'anomalie magnifique. Jugé trop petit pour le haut niveau, le milieu de terrain français a pourtant tout gagné, de la Premier League à la Coupe du Monde, sans jamais se départir de sa timidité légendaire. Au-delà de ses interceptions "télépathiques", c'est son humanité débordante, illustrée par des anecdotes improbables, qui a fait de lui le joueur le plus aimé de la planète.

  5. Didier Drogba, Vardy, Kanté : ces stars qui ont explosé sur le tard

    Parvenir à se construire une carrière dans le football professionnel relève déjà de l’exploit. Le niveau d’exigence au sommet est tel qu’il est tout simplement impossible de « faire illusion » sur la durée. Tous les joueurs ne sont pas des prodiges précoces à la Lionel Messi ou Lamine Yamal. Pour la majorité, l’accès au très haut niveau demande du temps, de la patience et une maturation progressive.

  6. Arsenal vacille, City accélère : le scénario catastrophe est-il déjà écrit ?

    « Personne ne gagne le titre en novembre. » La prophétie de Pep Guardiola, lancée le mois dernier, sonne aujourd'hui comme un avertissement glacé. Alors qu'Arsenal s'essouffle et montre des signes de fébrilité face aux lanternes rouges, Manchester City a comblé son retard avec une efficacité redoutable. Avec 34 points en 16 matchs – un total supérieur à celui de ses saisons de triplé – et le retour imminent de Rodri, le champion en titre est exactement là où il aime être : dans le rétroviseur, prêt à porter l'estocade.

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