En avril dernier, depuis la tribune du Rose Bowl Stadium de Pasadena, le président de la FIFA, Gianni Infantino, n'a pas manqué de vanter la nature prétendument "véritablement globale" de la nouvelle Coupe du Monde des Clubs 2025. Il a ainsi souligné que ce tournoi élargi, dont le coup d'envoi sera donné ce samedi [14 juin] à Miami et sera diffusée dans son intégralité sur DAZN, réunira 32 clubs issus de 20 nations et des six confédérations continentales, et que "leurs joueurs proviennent de 86 pays différents". Une belle vitrine, en somme.
Cependant, Gianni Infantino a également affirmé avec emphase que cette Coupe du Monde des Clubs allait, « pour la toute première fois de l'histoire », déterminer de manière incontestable quelle est la meilleure équipe de la planète.
Mais est-ce vraiment le cas ? Cette nouvelle formule élargie de la Coupe du Monde des Clubs réunit-elle réellement, en toute objectivité, les équipes les plus fortes du football mondial à l'heure actuelle ? On peut légitimement en douter, car il semble bien que plusieurs absents de marque et particulièrement notables manquent à l'appel. Et pas seulement parmi les clubs européens...
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