Classique PSG OM Javier PastoreGetty Images

PSG-OM - La fièvre de Draxler, les coups d'Ibrahimovic, la cuisine de Lavezzi : Pastore raconte ses meilleurs souvenirs du Classique

C'est devant sa télévision que Javier Pastore regardera dimanche soir, à 20h45, le Classique entre le PSG et l'OM.

Et avant la confrontation qui clôturera la 32e journée de Ligue 1, l'Argentin, qui joue aujourd'hui à Elche et qui a disputé onze fois ce choc, a livré à nos confrères du Parisien ses meilleurs souvenirs du Classique.

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Son meilleur Classique

Je dirais la victoire 5-1 en février 2017 au Vélodrome, on avait fait tout ce qu'on voulait. Il était spécial pour moi car Draxler devait être titulaire. Finalement il a eu de la fièvre dans la nuit et j'ai commencé la rencontre alors que je ne m'étais pas entraîné. Je revenais de blessure mais je voulais être de ce match ! Je ne joue que cinquante-cinq minutes, mais je donne une super passe décisive à Cavani.

Son Classique le plus fou

Le 2-2 en octobre 2017. C'était compliqué, on prend un rouge avec Neymar et puis Cavani nous sort un super coup franc dans le temps additionnel. J'étais sur le banc et là j'ai couru vers lui pour aller l'embrasser ! Il y avait eu beaucoup d'ambiance pendant le match (au Vélodrome, n.d.l.r.) mais après ce but de Cavani, c'est resté tout calme (il rit).

Le joueur le plus fort du Classique

Zlatan (Ibrahimovic) a quand même beaucoup fait la différence. C'était un joueur, dans les matches importants, qui faisait sentir sa présence. Il transmettait cette force, son caractère. Il savait que le match contre l'OM était important. Les coups qu'il donnait sur les terrains face à Marseille n'étaient pas les mêmes que face aux autres adversaires ! Il voulait montrer que personne n'était plus fort que lui.

La plus belle fête après un Classique

Après presque chaque match, on avait notre groupe, on partait dans la maison de Pocho Lavezzi ou dans la mienne et on arrivait vers 2 ou 3 heures du matin. Pocho cuisinait pour tout le monde, on mangeait, on rigolait, on buvait du vin. Je ne me rappelle plus l'année où on était sortis en discothèque à Paris avec presque toute l'équipe, les copines. Parfois, c'était même difficile d'entrer, tellement on était nombreux !

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