Rudi Garcia LyonGetty

PSG-Lyon, Rudi Garcia : "On a qu'une pression positive : remporter ce trophée"

Opposé au PSG vendredi (21h10) en finale de la Coupe de la Ligue, l'Olympique Lyonnais aura non seulement l'occasion de remporter un trophée, mais il pourrait dans le même temps valider sa qualification pour l'Europe la saison prochaine.

Ce double enjeu ne met pas davantage de pression sur les Gones, à croire le coach Rudi Garcia.

Le chaleur attendue au coup d'envoi

Rudi Garcia : On a pu se préparer car on a eu très chaud ces derniers jours à Lyon. Il faut être attentif. On aura une bonne répétition aujourd'hui au Stade de France. Il fera moins chaud qu'avec 80 000 personnes, c'est dommage malgré tout, mais les organismes peuvent souffrir sur 90 minutes voire plus.

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L'ambition lyonnaise

C'est une formidable occasion de remporter un titre. Cela fait trop longtemps que l'OL n'a pas gagné un trophée. Il faut absolument croquer à pleine dent dans cette opportunité. C'est quelque chose de magique, de positif, même si on sait qu'on sera outsider. On est quand même une équipe en passe de se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions. Il n'y a qu'une pression positive : remporter ce trophée.

"Tatarusanu va démarrer, c'est une certitude"

La dernière défaite 5-1 contre le PSG

Je me suis arrêté à la 60e minute de ce match (rires). On avait démontré qu'on était capables de marquer des buts. Il faudra rivaliser sur 95 minutes voire 120 ou jusqu'à la séance de tirs au but demain. On se prépare à tout.

Un indice sur la compo de l'OL

Ciprian Tatarusanu va garder les buts, c'est la seule certitude.

Les risques de blessure après l'arrêt des compétitions

Les cinq changements, c'est déjà une chose intelligente. Cela pourrait se prolonger. En tout cas, je l'espère. On va pouvoir faire davantage de changements que d'habitude pendant les premiers matches. Cela va permettre aux coaches de faire pluis de coaching aussi. On a eu huit semaines de préparatiion. C'était long et on part un petit peu dans l'inconnu bien sûr, mais les cinq changements nous permettront d'avoir un petit plus pour apporter de la fraîcheur.

Les retours de Reine-Adélaïde et Depay

On était persuadés qu'ils seraient plus prêts que les autres pour la reprise, parce que eux n'ont pas coupé. Ils ont continué à travailler sur leur retour. On leur a même conseillé sur les dix derniers jours de partir en vacances parce qu'ils allaient être prêts avant leurs coéquipiers. Rien ne remplace toutefois les entraînements collectifs. (...) Ce qu'ils nous ont montré l'un comme l'autre nous ont rassuré sur leur capacité à se montrer performant pour le rendez-vous de demain, et ceux à venir.

Benjamin Quarez, au Stade de France.

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