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Ce dimanche soir, l'Olympique Lyonnais a vécu un avant-match mouvementé à Marseille, où le bus de l'équipe a été caillassé en se rendant au Stade Vélodrome pour disputer "l'Olympico" tant attendu. Cette attaque a laissé l'entraîneur lyonnais, Fabio Grosso, blessé au visage par des éclats de verre, tandis que la lanterne rouge lyonnaise affronte l'Olympique de Marseille, actuellement huitième au classement de la Ligue 1. Les incidents survenus en dehors du terrain témoignent de la tension qui règne autour de ce match crucial.
Le bus pris pour cible
Les Gones, en route pour le stade Vélodrome, ont été pris pour cible lors d'une attaque où les vitres du côté droit du bus ont volé en éclats. Fabio Grosso, l'entraîneur italien de l'équipe, a été touché au visage par des débris de verre, laissant une trace de sang sur son visage. Les détails de la gravité de sa blessure demeurent inconnus, mais l'incident a clairement jeté une ombre sur l'atmosphère déjà tendue de l'Olympico.
Le match de ce dimanche était l'occasion pour l'OM de se mesurer à un adversaire en difficulté. Avec seulement une victoire lors de leurs six derniers matchs en championnat, les Marseillais cherchaient à exploiter la vulnérabilité de l'OL, toujours à la recherche de sa première victoire de la saison. Cependant, au lieu d'un affrontement sportif, l'attention s'est déplacée vers l'attaque du bus lyonnais.
La sécurité autour de l'événement avait déjà été renforcée, compte tenu des précédents incidents impliquant les supporters de l'OM. Mais malgré ces mesures, l'attaque contre le bus de l'OL a secoué la communauté du football français. Fabio Grosso n'était pas le seul touché, puisque l'un de ses adjoints, Raffaele Longo, a également été blessé lors de cette attaque choquante.
La réaction des autorités et des responsables du football a été immédiate. Les enquêtes sont en cours pour identifier les auteurs de l'attaque, et des mesures de sécurité supplémentaires ont été mises en place pour prévenir de futurs incidents.