Eduardo Camavinga sera-t-il toujours un joueur du Stade Rennais la saison prochaine ? Rien n'est moins sûr alors que le prometteur milieu de terrain n'a plus qu'un an de contrat avec son club formateur, et aurait fait connaître sa décision de ne pas prolonger.
Un départ pourrait donc advenir dès cet été, et plusieurs grands clubs européens sont à l'affût pour tenter de s'attacher les services de la jeune pépite. Le PSG fait bien sûr parti des prétendants et le jeune homme ne serait d'ailleurs pas insensible à l'intérêt du club parisien, qui s'est déjà assuré du renfort de Gini Wijnaldum pour la saison prochaine. Mais le prix demandé par Rennes, à hauteur de 100 millions d'euros, reste pour le moment prohibitif.
Mais selon les informations de RMC Sport, Manchester United serait également sur le point de tenter une approche pour l'international tricolore. Ce dernier serait même l'une des priorités de l'été pour le club entraîné par Ole Gunnar Solskjaer, qui compte se renforcer afin de lutter pour le titre en Premier League dès la saison qui arrive.
Les discussions auraient même déjà commencé entre les Red Devils et l'entourage du joueur et une nouvelle réunion serait prévue dans la semaine pour faire avancer le dossier.
Une équipe de United qui a donc la ferme intention d'attirer de jeunes joueurs à fort potentiel pour l'avenir, puisque le vice-champion d'Angleterre espère également boucler le transfert de Jadon Sancho, actuellement à l'Euro avec les Three Lions.
Non retenu par Didier Deschamps, Eduardo Camavinga espérait lui pouvoir s'envoler pour Tokyo le mois prochain afin d'y disputer les Jeux Olympiques. Placé dans le liste par Sylvain Ripoll, il ne sera toutefois par libéré par son club, qui a annoncé son intention de le retenir.
"Nous avons à disputer les barrages de la Ligue Europa Conférence les 19 et 26 août, c’est essentiel pour nous d’aller en phase de groupes. Nous n’y sommes pas favorables (à la libération de Camavinga), on a besoin de tous nos atouts. Pour nous, c’est impossible", affirmait vendredi le président Nicolas Holveck. À moins que sa situation contractuelle ne change d'ici là.


