Selon une indiscrétion signée du quotidien L'Equipe à paraître demain, Pierre Ménès et Canal+ ont trouvé un accord financier.
Le chroniqueur du CFC ne reviendra pas sur la chaîne cryptée après les révélations de faits de harcèlement dans les scènes coupées du fameux doceumentaire « Je ne suis pas une salope, je suis une journaliste » réalisé par Marie Portolano, son ex-conseur à Canal.
L'Equipe affirme qu'en absence d'accord, le chroniqueur envisageait de porter l'affaire devant les prud'hommes. Mais un terrain d'entente a été atteint envers les parties prenantes.
Écarté de Canal+ depuis avril dernier, le célèbre journaliste croyait un temps pouvoir retrouver son poste.
La direction de la chaîne cryptée, comme la maison mère Vivendi, souhaitait d'ailleurs bien analyser ce dossier et ne rien faire dans l'urgence.
Mais eau seind e la hiérarchie de Canal, la décision aurait été prise il y a un petit moment.
Il reste possible, voire probable, de voir le chroniqueur rebondir dans un autre média très prochainement.
Pour rappel, après avoir tenté de se dédouaner et d'atténuer la gravité de ses actes, Pierre Ménès est finalement revenu à la réalité, en présentant ses excuses sur Twitter. "Depuis la diffusion du doc de Mario Portolano, beaucoup de victimes se sont exprimées notamment à mon encontre. J'écoute et je respecte cette parole libérée. Après avoir échangé avec chacune de ces victimes et après avoir lu tous vos messages sur les réseaux sociaux, je tenais à tous vous dire que je regrette sans aucune ambiguïté tous ces gestes du passé qui ne se justifiaient aucunement", expliqueait ainsi le principal intéressé, peiné.
"J'ai causé de la peine et de la gêne à des amies sans jamais avoir eu l'intention de le faire directement ou indirectement. C'est pour toutes ces raisons que je réitère mes regrets et mes excuses les plus sincères", ajoutait l'homme dont la personnalité et les avis bien tranchés divisent la toile depuis des années. Pierre Ménès a été la cible de nombreuses critiques et insultes sur les réseaux.
