Après la minute de silence pour honorer la mémoire de la légende du football mondial, le mythique argentin Diego Maradona, décédé mercredi, Nice et le Slavia Prague s'empognaient ce soir en Ligue Europa, une compétition que le Gym pouvait quitter dès ce soir en cas de nouvelle performance indigente. Les Aiglons s'étaient inclinés 3-2 au match aller et avaient quasiement grillé leur ultime joker. Alors que a dernière rencontre du Gym remontait au 8 novembre, contre Monaco (1-2), difficile dire au coup de sifflet initilal si ce repos forcé allait être un avantage ou un inconvénient.
Aaprès le constat des 20 première minute, il était évident que le club français avait subi un malus. Pas dans le rythme, les locaux alaient encaissé l'ouverture du score par Ondrej Lingr, qui n'était pas attaquyé depuis le centre du pré et qui voyait Walter Benitez avancé. La suite était prévisible. Une frappe lointaine qui faisait mouche et l'ouverture du score pas franchement contre le cours du jeu au quart d'heure de jeu.
Révolte avortée pour les Niçois
Après 20 minutes disputées au ralenti, Nice se réveillait enfin. Parfaitement alimenté par Reine-Adélaïde, Alexis Claude-Maurice se retrouvait au duel face à Kolar, ouvrait son pied droit et battait le portier des visiteurs, mais voyait finalement sa tentative toucher l'intérieur du poteau droit. Dans la foulée, Amine Gouiri tentait sa chance du droit, mais Jan Boril remettait pour son portier et éteignait l'incendie à la demi-heure de jeu.
0-1, le constat au repos et le Gym devait absolument marquer lors du second acte, sous peine de perdre l'espoir de se qualifier en 16es de finale de la C3. Les locaux allaient d'ailleurs enfin égaliser à l'heure de jeu avec Gouiri, lequel avait bien suivi la frappe sur le poteau d'Atal pour remettre les deux formations à égalité.
Mais le Gym allait se relâcher et 4 minutes après l'égalisation, Peter Olayinka redonnait l'avantage au Slavia. Puis, à un quart d'heure de la fin et face à une défense azuréeenne complètement amorphe, Tomas Holes déposait le cuir sur le crâne d'Abdallah Sima, qui marquait le but du 3-1 dune tête piquée.
Hicham Boudaoui. écopait d'un second jaune pour contestation en fin de recontre et les Niçois finissaient à dix pour finalement largement s'incliner 1-3. Il faut désormais un miracle aux Azuréens pour continuer à y croire.


