Cette page contient des liens d'affiliation. Lorsque vous effectuez un achat par le biais des liens fournis, nous pouvons percevoir une commission.
Spain v France - UEFA Nations League 2025 Semi-finalGetty Images Sport

La Premier League s'arrache Rabiot, c'est la folie !

Le milieu de terrain a été écarté après un accrochage avec Jonathan Rowe dans le vestiaire et le club français cherche à le vendre. Marseille réclame 15 millions d'euros (13 millions de livres sterling/16 millions de dollars) pour lui, et plusieurs clubs sont sur les rangs, rapporte L'Équipe. Tottenham et Villa sont en discussion avec ses représentants, rapporte Fabrice Hawkins, les Spurs étant particulièrement intéressés par le transfert attendu d'Yves Bissouma à Galatasaray.

Par ailleurs, Milan étudie une réunion entre Rabiot et Massimiliano Allegri, sous les ordres de qui il a prospéré à la Juventus, après avoir essuyé un refus dans sa tentative de recruter Giovanni Fabbian de Bologne, rapporte Sky. Cependant, le joueur de 30 ans n'a pas indiqué être ouvert à un transfert à San Siro.

Marseille se prépare déjà à vivre sans l'ancienne star du Paris Saint-Germain, identifiant Dani Ceballos (Real Madrid) et Florentino Luis (Benfica) comme remplaçants potentiels. Alors que le mercato se rapproche, l'avenir de Rabiot pourrait dépendre du club le plus réactif et de l'approbation de sa mère et agente, Véronique Rabiot.

Rabiot n'aurait pas renoncé à rester et à renouer avec Marseille. L'entraîneur Roberto De Zerbi a tenté de minimiser les tensions, mais une interview accordée par sa mère a provoqué la colère du club, le président Pablo Longoria et le directeur sportif Medhi Benatia refusant de revenir sur leur décision de le bannir et de le vendre.

La prochaine étape pour les Spurs dépend de la finalisation de la vente de Bissouma, tandis que Villa envisage de soumettre une offre officielle avant la date limite des transactions. Milan, bien que motivé, doit trouver un terrain d'entente avec les 15 millions d'euros exigés par Marseille et surmonter la position ferme de Véronique Rabiot dans les négociations.

Publicité