Le 4 avril 2023, ils espèrent un résultat positif. Ce jour-là, l’UEFA révèlera qui sera le pays hôte de l’Euro féminin de football 2025. Les candidats avait jusqu’au mois d’octobre pour déposer leur dossier et quatre d’entre eux attendent la date fatidique pour leur vœu exaucé. Parmi eux, on compte bien évidemment la France qui a déjà accueilli le dernier mondial, la Suisse, la Pologne et la candidature commune des pays nordique (Danemark, Finlande, Norvège et Suède).
Pour mettre en lumière leur projet, ces derniers ont sollicité les stars du football scandinave qui ont manifesté leur soutien. Parmi les sportives, on retrouve notamment, Magdalena Eriksson, qui évolue à Chelsea dans la Super League féminine anglaise. « La candidature des pays nordiques à la vision d'inspirer et de construire une véritable égalité des chances pour le football féminin en Europe, affirme l’internationale suédoise. Je suis animée par une vision similaire chaque fois que je mets un pied sur le terrain. Ce serait un rêve devenu réalité que de jouer dans les pays nordiques en 2025. »
La candidature nordique peut aussi compter sur le soutien d’autres joueuses issues des quatre pays candidats comme Pernille Harder (Chelsea FC / DEN), Ingrid Engen (FC Barcelona / NOR) et Natalia Kuikka (Portland Thorns / FIN).
Mais les filles n’ont pas été les seules à se mobiliser pour défendre la candidature. Le Niçois Kasper Schmeichel, qui évolue actuellement sous le maillot niçois promet que l’organisation offrira « un tournoi de joie et de fête, où tout le monde sera invité à célébrer les valeurs communes de notre communauté de football européen - ensemble. Victor Lindelöf (Manchester United / SWE), Alexander Sørloth (Real Sociedad / NOR), et Lukas Hradecky (Bayer 04 Leverkusen / FIN) ont tous partagé leur soutien également.
Selon les organisateurs, le projet nordique prévoit de rendre disponibles plus de 800 000 billets à la vente et de voir la finale à la Friends Arena de Stockholm qui peut accueillir 50 000 personnes.
