Dès que Richarlison s'est assis sur le banc de touche après avoir été remplacé au milieu du match contre la Bolivie (5-1), les larmes ont commencé à couler sur son visage. Son remplacement est intervenu quelques instants après que l'attaquant de Tottenham a manqué une occasion en or, confirmant ainsi sa quatrième apparition consécutive sans but avec la Selecao, une série qui a été portée à cinq après qu'il a de nouveau fait chou blanc contre le Pérou mardi.
La raison de l'émotion de Richarlison semblait évidente. Depuis son arrivée chez les Spurs en provenance d'Everton pour 50 millions de livres (62 millions de dollars) l'été dernier, il a eu du mal à se faire une place de titulaire dans le nord de Londres, mais ses déplacements avec le Brésil ont toujours été un espace sûr. Les Brésiliens adorent Richarlison et sa place dans le onze de départ a rarement été remise en question.
Jusqu'à aujourd'hui. Après le match contre la Bolivie, le doyen de la presse sportive brésilienne, Juca Kfouri, a déclaré : "Ce n'est pas une raison pour dramatiser : "Ce n'est pas une raison pour dramatiser, mais quand Vinicius Junior reviendra, et avec la qualité du jeu de Rodrygo, Richarlison devrait être heureux s'il est même sur le banc".
Cependant, comme le joueur l'a expliqué plus tard, ses larmes n'ont pas été causées par la menace qui pesait sur sa place dans l'équipe première. Au contraire, elles ont été provoquées par des problèmes en dehors du terrain qui lui ont causé beaucoup de soucis ces derniers temps.
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