Le week-end dernier a offert un contraste saisissant, presque cruel. D'un côté, Manchester City a écrasé Crystal Palace (3-0), une équipe du haut de tableau réputée imprenable chez elle, signant sa plus large victoire à Selhurst Park. De l'autre, Arsenal a dû s'arracher pour battre Wolverhampton (2-1), statistiquement la pire équipe de l'histoire de la Premier League à ce stade, grâce à un but contre son camp à la 93e minute.
Si les trois points sont les mêmes sur le papier, la dynamique, elle, a changé de camp. Depuis l'avertissement de Guardiola en novembre, City a pris 15 points sur 18 possibles, transformant un gouffre de sept points en un écart insignifiant de deux unités. Aston Villa joue les trouble-fêtes, mais l'histoire suggère un duel à deux. Et dans ce duel, l'un des combattants semble gagner en puissance quand l'autre commence à trembler.








