Les Bleus sont réunis au complet à Clairefontaine pour préparer le choc contre l’Espagne en demi-finale de Ligue des Nations. Ce lundi, les finalistes de la Ligue des champions ont rejoint le groupe. Du côté des champions d’Europe, les Parisiens ont reçu un accueil chaleureux, sous les regards complices de Mbappé et Deschamps. Rires, petites piques et poignées de main ont rythmé ces retrouvailles.
AFP
Getty Images SportCinq champions d’Europe accueillis en fanfare
Désiré Doué, Ousmane Dembélé, Bradley Barcola, Lucas Hernandez et Warren Zaïre-Emery ont foulé le sol de Clairefontaine ce lundi. Auréolés de leur large victoire en finale de Ligue des champions face à l’Inter Milan (5-0), les cinq Parisiens ont été accueillis dans une ambiance festive. Sur le compte X de la sélection française, une séquence montre les retrouvailles avec Kylian Mbappé, désormais joueur du Real Madrid, mais toujours capitaine tricolore.
Sourire aux lèvres, Mbappé va droit vers Lucas Hernandez, avant de taquiner Désiré Doué, l’homme du match côté PSG. L’attaquant ne rate pas l’occasion de lui glisser un petit mot sur ses lunettes de célébration après lui avoir demandé comment il se portait.
AFPDoué félicité, Dembélé dans les bras de Samba
Didier Deschamps, fidèle à lui-même, salue Lucas Hernandez avec une pointe d’humour : « Je t’ai manqué? »« Beaucoup », lui rétorque le défenseur.
Le sélectionneur salue aussi l’éclatante performance de Doué en finale : « Dez, bravo! ».
Ousmane Dembélé, lui, croise Brice Samba et les deux hommes partagent une accolade franche. Le gardien rigole en voyant la caméra : « Ouais après, il y a trop de caméras là », lâche l’ailier parisien dans un sourire.
Getty Images SportBarcola et Zaïre-Emery plus discrets
Les deux jeunes entrants en finale n’ont pas eu le même feu d’artifice que leurs camarades. Bradley Barcola et Warren Zaïre-Emery ont pourtant reçu les félicitations de Mike Maignan et des autres cadres du groupe. Moins d’effusions, mais tout autant de respect.
En revanche, aucune image des deux finalistes malheureux, Benjamin Pavard et Marcus Thuram. Leur arrivée, elle, s’est déroulée loin des objectifs. Peut-être dans une atmosphère un peu plus pesante.