Les bienfaits de la deuxième victoire en Ligue des Champions ?
“La réponse est évidente, on va bien. Les joueurs sont heureux, confiants, motivés. Ils ont bien travaillé ces trois derniers mois. On sait qu’un match difficile nous attend dimanche mais on est dans un bon moment depuis plusieurs semaines. Plus le match est important, plus les joueurs ont envie de donner le meilleur, cet état d’esprit me plait”.
Le moment idéal pour affronter le PSG ?
“Je ne pense pas qu’ils soient moins flamboyants. Contre Benfica, ils ont fait deux bons matchs. Ils ont des qualités à tous les postes. Nous il faut qu’on reste fidèles à nous-mêmes pour exploiter le maximum de notre potentiel.”
Rester fidèle à ses idées ou s'adapter au PSG ?
“Bien sûr, pour deux raisons. D’abord j’y crois, et ensuite, cela nous a apporté des résultats. Il me semble impossible de changer. Ce qui compte c’est d'améliorer ton style. Être plus compact au pressing, comment être bien agressif, avoir des joueurs en plus sur les phases défensives, mais aussi être en supériorité numérique dans la surface adverse. On ne peut pas changer du jour au lendemain. Je sais que ce n’est pas facile d'évoluer ainsi. On accepte ce risque, en essayant de le minimiser en évitant le un contre un avec les flèches adverses, via l’apport des pistons, ou des milieux. Et il y a forcément quelque chose à gagner de l’autre côté du terrain.”
L'OM manque-t-il de profondeur ?
“Je ne pense pas qu’on ait des problèmes dans ce domaine. On a vu Harit attaquer bien la profondeur mercredi sur le second but, avec un Bamba Dieng qui en clair progrès, physique et mental. J’en suis très content, et il aura une place de plus en plus importante dans mes plans.”


