Une année de rumeurs, une saison de plus à San Mamés, puis un virage brutal : l’ailier de 22 ans n’a jamais été aussi proche du Camp Nou. L’intérêt du Bayern et d’Arsenal restait vif, mais Joan Laporta a décidé de passer la seconde. Le feuilleton prend une tournure décisive.
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AFPLe feu vert de Nico Williams et une clause à 58 M€ à négocier
Selon les informations de Sport, confirmées par Fabrizio Romano, les discussions menées depuis quelques semaines ont abouti à un accord de principe avec le joueur. Nico Williams a choisi Barcelone, séduit par le discours d’Hansi Flick et la perspective d’évoluer aux côtés de Lamine Yamal. L’ailier aurait même confié son désir ardent à plusieurs coéquipiers de la Roja récemment.
Le Barça doit maintenant s’entendre avec l’Athletic Bilbao. La clause libératoire de 58 millions d’euros reste ferme ; seule une structure de paiement en plusieurs phases pourrait convenir aux deux camps. Laporta, conscient de la rigidité basque, préfère ce montant pour un talent émergent plutôt que les 70 M€ exigés par Liverpool pour Luis Diaz. Les finances serrées exigent des choix clairs.
Getty Images SportFlick valide la priorité, une concurrence désarmée ?
Le nouvel entraîneur a placé l’Espagnol tout en haut de sa liste d’ailiers. Profil percutant, jeune, bilingue et déjà rodé à la Liga : l’équation séduit l’ancien coach du Bayern. Son feu vert précipite la décision. Avec le soutien total de Deco, une nouvelle réunion est prévue dans les tout prochains jours pour finaliser modalités et calendrier.
Arsenal apprécie toujours le joueur ; le Bayern aussi. Leur atout principal restait la solvabilité immédiate. Mais la promesse catalane, renforcée par l’enthousiasme du principal intéressé, pourrait suffire à fermer la porte à toute surenchère. Bilbao n’exclut pas un départ rapide si la clause s’active, l’été basque dépendra donc d’un coup de fil blaugrana.
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Le Camp Nou attend. Si la clause s’avère impossible à étaler, le Barça devra trouver des ventes ou patienter. Pourtant, le sentiment général à Barcelone est clair : cette fois, le train ne repartira pas sans Nico Williams comme cela a été le cas l’été dernier.



