L’élimination du Barça en quarts de finale de Ligue des champions par le Paris Saint-Germain passe toujours mal en Catalogne. Même si le tournoi est clôturé avec le sacre du grand rival madrilène, Ilkay Gündogan a du mal à oublier le vilain geste de son coéquipier Ronald Araujo, qui avait tué le match après son expulsion contre le PSG à Montjuïc.
Gündogan était très choqué
Alors que le Barça s’était imposé au match aller (2-3) au Parc des Princes, les Culés, qui voyaient déjà un de leurs pieds en demi-finales, surtout quand Raphinha a ouvert le score (12e) lors du match retour grâce. Malheureusement, le Barça s’était incliné (1-4) devant le PSG. Sanctionné pour une faute sur Bradley Barcola, Ronald Araujo a été expulsé (29e). Une expulsion mal digérée par Gündogan dans le temps.
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« Je suis déçu, très déçu parce que nous étions en si bonne position, pas seulement à l'issue du match aller mais aussi après le premier but qu'on a marqué. Tout était entre nos mains et nous l'avons simplement donné au PSG. Nous l'avons fait de la manière la plus facile qui soit. C'est le plus décevant. C'est difficile à dire, je pense que dans ces moments cruciaux, il faut être bien sûr quand on intervient, quand on va chercher le ballon. Je ne sais pas s'il touche le ballon ou pas. Mais je préfère encaisser un but ou même accorder un un contre un. Je préfère donner au gardien la possibilité de l'arrêter, voire de lui donner le but franchement. Recevoir un carton rouge si tôt dans le match, ça vous tue », avait déclaré le milieu de terrain allemand.
Gündogan s’en prend encore à Araujo
Le temps passe, mais la douleur persiste, dit-on. Ilkay Gündogan n’a pas oublié cette élimination qui passe toujours mal dans sa tête. Luis qui pensait remporter une deuxième Ligue des champions d’affilée après celle avec Manchester City la saison dernière. Alors que l’on estimait que la hache de guerre est enterrée après la réconciliation, ce ne serait pas le cas. Dans une interview accordée au média allemand, Der Spiegel, le milieu central s’en prend une fois encore au défenseur central uruguayen.
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« J’ai parlé de nous en tant qu’équipe, pas seulement de Ronald. Vous le verrez si vous relisez mes déclarations dans leur intégralité. Moi aussi, je fais des erreurs et je les admets. Mais si vous n’êtes pas prêt à admettre vos erreurs, vous ne pouvez pas réussir », a déclaré le joueur de 33 ans. Ceci pour affirmer, sauf surprise, que l’Uruguayen n’a pas admis ses bévues.