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PSG - Liverpool (0-1) : Luis Enrique, Kvaratskhelia et les réactions d'après-match

La défaite face à Liverpool (0-1) a laissé un goût amer dans le camp parisien. Malgré une domination écrasante (27 tirs, 8 cadrés), le PSG s’est incliné sur un but d’Harvey Elliott à la 87e minute. Un scénario qui a suscité frustration et détermination dans les déclarations d’après-match, entre colère contre l’injustice et foi en la revanche.

  • Luis Enrique : "Le football est parfois injuste"

    L’entraîneur du PSG n’a pas caché son amertume. « C’est très injuste. Peut-être notre match le plus complet en Ligue des Champions. Leur meilleur joueur a été le gardien », a-t-il lancé, saluant Alisson, auteur de huit arrêts. Malgré la défaite, Luis Enrique a tenu à valoriser le collectif : « Je suis très fier de mon équipe. On a été bien meilleurs que Liverpool. Mais ils ont gagné. Je ne vois pas le négatif : il reste un match. » Refusant de commenter l’action litigieuse sur Bradley Barcola (26e), il a assuré : « Optimiste ? Bien sûr. »

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    Kvaratskhelia : "On aurait mérité la victoire"

    Le Géorgien, frustré par un but refusé pour hors-jeu millimétrique (21e) et trois arrêts d’Alisson, a résumé l’état d’esprit du groupe. « On a montré qu’on était la meilleure équipe. On aurait mérité une victoire ou un match nul, mais c’est le football », a-t-il reconnu, avant d’ajouter : « Je dois continuer à travailler. Les résultats viendront. » Malgré la déception, il a fixé l’objectif : « À Anfield, il faudra reproduire ce match… et marquer. »

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    Vitinha : "On va faire un grand match là-bas"

    Le milieu portugais, solide mais impuissant face à l’héroïsme liverpuldien, a affiché une détermination sans faille. « C’est dur, tout le monde a vu. Ils marquent sur leur seul tir… Mais on va montrer notre force », a-t-il martelé. Refusant de s’appesantir sur l’arbitrage, il a mis en avant la foi du vestiaire : « Je reste optimiste. On méritait de gagner ici, on le fera là-bas. On va passer, j’en suis sûr. »

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    Entre regrets et perspective historique

    Si les Parisiens ont souligné leur supériorité (71% de possession, 14 corners à 2), ils savent que l’histoire se jouera à Anfield. Le PSG, invaincu en 2025 avant ce revers, devra concilier rage et lucidité. Luis Enrique l’a rappelé : « La Ligue des Champions se gagne en marquant, pas en dominant. » Un mantra à méditer avant le 12 mars, où les Parisiens tenteront d’effacer cette cruelle injustice.