La tension monte à l’Olympique de Marseille. Déjà bousculé par une défaite à Rennes (1-0) en ouverture de la saison 2025-2026 en Ligue 1, le vestiaire marseillais a été secoué par un accrochage entre Jonathan Rowe et Adrien Rabiot. Alors que tous les deux ont été mis à l’écart, c’est pourtant l’ailier anglais qui risque de payer le prix fort. Courtisé en Italie et en Angleterre, Rowe va connaître son sort ce mardi, jour d’une réunion décisive avec les dirigeants olympiens.
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AFPUn dossier qui divise l’OM
Depuis plusieurs semaines, le nom de Jonathan Rowe alimente les discussions autour du mercato phocéen. Avec une valeur marchande estimée à près de 20 millions d’euros et de nombreux clubs attentifs à son profil, l’Anglais représente une belle opportunité financière pour l’OM. La situation s’est envenimée vendredi, après la défaite contre Rennes, où une altercation avec Adrien Rabiot a accentué son isolement au sein du groupe.
GettyUn rendez-vous décisif ce mardi
Selon les informations de Fabrizio Romano, l’avenir du joueur sera décidé dans les prochaines heures. Le journaliste italien affirme qu’une rencontre est prévue ce mardi entre les représentants de Rowe et la direction marseillaise afin de trouver une issue commune. L’état-major, mené par Mehdi Benatia et Pablo Longoria, veut clarifier la situation pour se concentrer rapidement sur d’autres priorités du mercato.
Faut-il souligner que les prétendants ne manquent pas pour s’attacher les services de l’ancien ailier de Norwich. Fabrizio Romano révèle que Bologne a déjà formulé une offre officielle, tandis que l’AS Roma et plusieurs clubs de Premier League se sont rapprochés des agents du joueur. Si rien n’est encore acté, le départ de Rowe apparaît de plus en plus probable.
AFPDes arrivées en attente
Côté olympien, la vente de l’international anglais pourrait débloquer plusieurs dossiers en suspens. Joel Ordóñez à qui l’OM vient de transmettre une ultime offre, Edon Zhegrova ou encore Ismaël Bennacer figurent dans la short-list marseillaise. Le départ de Rowe permettrait de lancer enfin un mercato jusqu’ici ralenti par l’obligation de vendre avant d’acheter.



