Mbappé, Messi, Haaland… Le classement des 25 stars de la Coupe du monde des clubs

Quand on évoque l’expression « mouiller le maillot », un nom vient immédiatement à l’esprit : Rodrigo De Paul. Pour son club comme pour sa sélection, l’Argentin s’est imposé comme l’un des milieux de terrain les plus intenses du football mondial. Intraitable dans les duels, il sait aussi faire preuve d’un sang-froid et d’un sens du tempo rares à ce poste, ce qui fait de lui une exception dans le cœur du jeu.

Balle au pied, De Paul est capable de distiller des passes que peu peuvent envisager. Sans ballon, son sens du placement et sa lecture du jeu en font un stratège discret mais incontournable. Il incarne à merveille l’esprit de son entraîneur Diego Simeone, et agit comme le ciment de cette équipe madrilène qui, derrière son apparente rudesse, repose aujourd’hui sur un modèle de possession léché et structuré.

Révélation du Mondial 2022 avec l’Argentine, Enzo Fernandez n’a cessé de progresser depuis son arrivée à Chelsea en provenance de Benfica. Milieu de terrain complet, il forme un duo complémentaire avec Moises Caicedo, mêlant intensité à la récupération et finesse dans la relance. Sa vision du jeu et sa capacité à jouer sous pression en font un rouage essentiel du système en transition des Blues.

Mais Fernandez ne se limite pas à l'entrejeu. Véritable milieu box-to-box, il n’hésite pas à se projeter dans les 30 derniers mètres, où sa qualité de passe fait souvent la différence. Ajoutez à cela une débauche d’énergie constante, que ce soit à la récupération ou dans l’animation offensive, et vous obtenez l’un des profils les plus précieux du contingent londonien.

Surnommé « Kvaradona » pour deux raisons — la difficulté à prononcer son nom, et surtout une aisance balle au pied qui rappelle celle du génial numéro 10 argentin —, l’international géorgien s’est imposé comme l’un des joueurs les plus électrisants du moment.

Sous les couleurs du PSG, il sort d’une saison remarquable : 12 buts, 9 passes décisives toutes compétitions confondues, un triplé historique à la clé avec la Ligue des champions, la Ligue 1 et la Coupe de France. Une ascension fulgurante pour celui qui a véritablement explosé lors de sa première saison complète dans la capitale.

Sa technique raffinée, ses changements de rythme fulgurants et sa qualité de frappe exceptionnelle en font l’un des dribbleurs les plus redoutés du tournoi. À seulement 24 ans, Kvaratskhelia s’annonce déjà comme l’un des atouts offensifs majeurs de cette Coupe du Monde des clubs.

S’il a parfois déçu en sélection argentine, ses prestations en club laissent peu de place au doute : Lautaro Martinez est aujourd’hui l’un des attaquants les plus complets d’Europe. Cette saison encore, il a porté l’Inter jusqu’en finale de Ligue des champions, inscrivant 22 buts et délivrant 7 passes décisives toutes compétitions confondues.

Redoutable dans les petits espaces, efficace de loin, sur coup de pied arrêté ou en contre-attaque, l’Argentin incarne l’archétype du buteur moderne. Sa palette technique, sa vision et sa précision en font une menace constante dans la surface. S’il arrive à la Coupe du Monde des clubs avec la même efficacité, les défenses adverses risquent de vivre un cauchemar.

L’un des deux seuls gardiens à figurer dans ce top 25. Et vu sa campagne européenne, il aurait été difficile de l’ignorer. Longtemps critiqué, parfois jugé irrégulier, Gianluigi Donnarumma a fait taire les doutes en 2024-2025 avec une saison de très haut niveau sous le maillot du PSG.

Doté d’un gabarit impressionnant et d’un réflexe hors norme, l’international italien est redoutable en un contre un. Mais ce qui frappe le plus, c’est son équilibre global : un jeu au pied propre, une sérénité dans les airs et des arrêts décisifs à répétition. Véritable muraille, il s’annonce comme l’un des cauchemars des attaquants dans ce tournoi.

Infatigable. Federico Valverde fait partie de cette caste rare de milieux capables de couvrir tout le terrain sans jamais baisser d’intensité. Mais en 2024-2025, l’Uruguayen a montré qu’il n’était pas seulement un formidable relayeur : il s’est également imposé ponctuellement comme latéral droit, confirmant une polyvalence précieuse dans l’organisation du Real Madrid.

Avec le départ de Luka Modric, son rôle au sein du collectif madrilène devient encore plus central. À la récupération comme dans la projection, Valverde assure une fluidité constante, capable de casser les lignes par la course ou la passe. Homme fort aussi de la sélection uruguayenne, il incarne l’équilibre, l’intensité et la fiabilité dont rêve tout entraîneur.

Avec Thibaut Courtois, inutile d’en faire trop. Le gardien belge s’est imposé depuis une décennie comme l’un des meilleurs à son poste, sinon le meilleur. Véritable monument du Real Madrid, il a porté le club vers de nombreux titres, dont deux Coupes du monde des clubs en 2018 et 2022.

Du haut de son mètre 98, le dernier rempart de 33 ans reste la référence absolue en matière de réflexes et de lecture des trajectoires. Cet été encore, il devrait marquer la compétition de son empreinte.

Vainqueur de la Coupe du monde 2018 avec la France, Antoine Griezmann est sans doute le joueur le plus singulier de ce tournoi. Capable de briller peu importe son positionnement sur le terrain, il incarne à merveille la polyvalence chère à Diego Simeone, tout en rendant systématiquement meilleurs ceux qui l’entourent.

Finisseur redoutable, passeur de génie, Griezmann est aussi un attaquant au volume de jeu impressionnant. Meneur de jeu, ailier ou même milieu relayeur, il affiche toujours la même efficacité, peu importe le rôle qui lui est confié.

Rare sont les joueurs à combiner une telle intelligence de jeu et une telle générosité. Tout juste prolongé par l’Atlético, le Français s’apprête à faire du Mondial des clubs sa scène.

À seulement 26 ans, Alessandro Bastoni s’est déjà imposé comme l’un des défenseurs les plus fiables et complets du football européen. Pilier de l’Inter Milan, il a conduit les Nerazzurri à deux finales de Ligue des champions en trois saisons, tout en garnissant son armoire à trophées avec un Scudetto, deux Coupes d’Italie et deux Supercoupes nationales.

Solide dans les duels, rapide pour un joueur de son gabarit et capable de relancer proprement, Bastoni est un défenseur moderne que peu d’attaquants auront envie de défier cet été. Son impact physique et sa lecture du jeu en font une pièce maîtresse du dispositif milanais.

Courtisé par plusieurs cadors européens, le gaucher pourrait vivre son dernier tournoi sous les couleurs de l’Inter. Mais avant cela, il a une ultime mission à accomplir : sécuriser la ligne arrière et mener son club vers les sommets du Mondial des clubs.

Colosse défensif et homme de confiance de Pep Guardiola, Ruben Dias fait partie des piliers de la machine City. Déjà vainqueur du Mondial des clubs en 2023 avec les Skyblues, le défenseur portugais s’est imposé comme l’un des meilleurs centraux de la planète depuis son arrivée en provenance de Benfica en septembre 2020.

Rugueux dans les duels, serein balle au pied, et doté d’une lecture du jeu au millimètre, Dias incarne le défenseur complet par excellence. Que ce soit en Ligue des champions ou avec le Portugal, il a multiplié les performances solides dans les rendez-vous les plus tendus.

Son leadership naturel et son intelligence tactique ont fait de lui un rouage essentiel du système mancunien. Dans cette nouvelle campagne mondiale, City comptera une fois de plus sur sa fiabilité pour défendre son titre.

Champion du monde en 2022, vainqueur du Mondial des clubs en 2023 avec un doublé en finale sous les couleurs de Manchester City… Julian Alvarez est un homme des grands rendez-vous. Et depuis son arrivée à l’Atlético de Madrid, l’attaquant argentin n’a fait que confirmer ce statut.

Transféré en Liga pour trouver davantage de responsabilités, il a explosé sous les ordres de Diego Simeone. Avec 29 buts et 7 passes décisives toutes compétitions confondues lors de sa première saison en Espagne, il a rapidement fait oublier ses prédécesseurs en pointe.

Buteur instinctif, capable de briller dans les petits espaces comme sur attaque rapide, Alvarez s’est imposé comme l’élément central du système offensif des Colchoneros. À l’approche du Mondial des clubs 2025, peu d’attaquants paraissent aussi redoutables que lui.

Talent à part dans le paysage européen, Jamal Musiala s’est imposé comme le cœur battant du jeu offensif du Bayern Munich. Le milieu offensif allemand, formé au club et désormais pilier du onze bavarois, est un technicien hors pair, à la fois élégant et déroutant balle au pied. À seulement 22 ans, il joue avec la maturité d’un vétéran et incarne l’avenir de la Nationalmannschaft.

Ce qui fait sa force, c’est sa compréhension exceptionnelle du dernier tiers du terrain. Musiala sait toujours où se placer, que ce soit pour déclencher une combinaison, plonger entre les lignes ou libérer un espace pour un coéquipier. Il est le principal créateur de Bayern, et ses inspirations sont souvent à l’origine des actions les plus dangereuses du club allemand.

Principalement droitier, il n’en reste pas moins redoutable du gauche, ce qui rend ses intentions quasi impossibles à anticiper pour les défenseurs adverses. Insaisissable, spontané et imprévisible, Musiala est l’un des talents les plus électrisants de ce Mondial des clubs 2025.

Unique représentant de la MLS dans ce classement, Lionel Messi n’a plus rien à prouver. Champion du monde en 2022 avec l’Argentine, huit fois Ballon d’Or, MVP de la dernière saison en Major League Soccer, il continue de réécrire les standards du football mondial à 37 ans.

Malgré le poids des années, Messi reste un joueur de classe mondiale. Ses éclairs de génie, sa vision du jeu et sa précision diabolique font toujours de lui l’un des joueurs les plus redoutés de la planète. Ce Club World Cup s’annonce comme un nouveau défi pour l’Argentin, déterminé à démontrer qu’il peut encore éblouir les sommets malgré la distance avec l’Europe.

Maître des coups de pied arrêtés, créateur hors norme et technicien insaisissable, le génie d’Inter Miami attirera tous les regards. S’il retrouve son meilleur niveau, peu d’équipes auront les armes pour l’arrêter.

C’est le phénomène de l’année en Europe. À seulement 19 ans, Désiré Doué a explosé aux yeux du monde entier lors de la saison 2024-2025, jusqu’à s’imposer comme l’un des artisans majeurs du sacre européen du PSG. Sa performance en finale de Ligue des champions a marqué les esprits : deux buts somptueux, une passe décisive, et un titre de meilleur joueur du match en prime.

Comparé à un jeune Neymar pour sa créativité ou même à Thierry Henry pour sa vitesse et sa capacité à faire la différence dans les grands rendez-vous, le prodige français a littéralement dynamité les défenses les plus solides du continent cette saison.

Techniquement au-dessus du lot, il impressionne par son aisance balle au pied, son sens du dribble et sa maturité tactique malgré son jeune âge. Déjà vainqueur d’un triplé historique avec Paris (Ligue 1, Coupe de France, Ligue des champions), un titre mondial viendrait parachever une saison déjà exceptionnelle et faire de lui l’un des visages incontournables du football mondial.

Quel joueur ! Le qualificatif revient souvent, mais rarement avec autant de justesse. Cette saison, Vitinha s’est affirmé comme l’un des meilleurs milieux de terrain d’Europe, remportant le triplé avec le PSG et la Ligue des Nations avec le Portugal. À 25 ans, il vit l’année la plus accomplie de sa carrière, et un sacre mondial viendrait couronner une ascension remarquable.

Fin, intelligent, toujours bien placé : le Portugais incarne le milieu moderne par excellence, non pas par la puissance ou la vitesse, mais par la lecture du jeu. Il sait accélérer ou temporiser selon les besoins, oriente le jeu avec calme et justesse, et comprend mieux que quiconque comment faire respirer une équipe.

Il n’a rien du bulldozer ou du dynamiteur de défenses, mais sa science du placement, son intelligence de course et sa capacité à dominer le tempo font de lui le véritable métronome du PSG. Et si Paris rêve d’ajouter une étoile mondiale à sa collection de trophées, Vitinha sera sans doute l’un des principaux artisans de cette quête.

Il n’a pas seulement justifié son prix, il en a redéfini la norme. Depuis son transfert retentissant à 146 millions de dollars de Brighton à Chelsea, Moises Caicedo est devenu l’un des meilleurs récupérateurs du monde, capable de rivaliser avec Rodri au sommet de la hiérarchie des milieux défensifs.

Son impact est double. Avec les Blues, il a été l’un des piliers du sacre en Ligue Europa Conférence cette saison. Avec l'Équateur, il a déjà validé sa participation à la Coupe du monde 2026, confirmant son statut de cadre international.

Mais c’est sur le terrain que Caicedo impressionne le plus. Infatigable, il multiplie les courses, récupère sans relâche et distribue avec une sérénité déconcertante. Il dicte le tempo, étouffe les transitions adverses, et donne à Chelsea un socle stable au cœur du jeu.

Dans cette Coupe du monde des clubs, il sera l’un des rouages majeurs du dispositif londonien. À seulement 23 ans, il joue avec la maturité d’un vétéran, et s’impose comme l’un des chefs d’orchestre les plus complets du football mondial.

Il l’attendait depuis toujours. Après des années de frustration, Harry Kane a enfin soulevé un premier trophée majeur en club cette saison avec le Bayern Munich. Mais il n’est pas rassasié. Cet été, à la Coupe du monde des clubs, il visera un deuxième titre pour définitivement tourner la page de son passé sans palmarès.

Kane est l’archétype du buteur moderne. Redoutable dans la surface, dangereux sur coups de pied arrêtés grâce à son gabarit, il excelle également dans l’art de trouver les bons espaces que d’autres ne perçoivent même pas. À ses côtés, la jeunesse explosive de l’attaque bavaroise pourrait le propulser encore plus haut.

L’Anglais ne se contente pas d’être un finisseur. Il participe au jeu, oriente, régule. Un attaquant complet, clinique et intelligent, qui a fait de la régularité sa signature. S’il brille cet été, il pourrait bien être l’homme qui mènera le Bayern vers le sommet mondial.

Quel phénomène. La saison 2024-25 de Nuno Mendes est un chef-d’œuvre de régularité, d’impact et de domination. Triplé national avec le PSG, titre en Ligue des Nations avec le Portugal, et surtout, statut de meilleur latéral gauche d’Europe — voire de meilleur défenseur tout court cette année.

À seulement 22 ans, il a livré une campagne de Ligue des champions étourdissante. Mohamed Salah, Bukayo Saka, Morgan Rogers, puis l’attaque entière de l’Inter en finale : tous ont été neutralisés. Mendes n’a laissé que des miettes, imposant sa vitesse, son placement impeccable et sa qualité de relance.

Ce Club World Cup pourrait être sa consécration planétaire. À la croisée entre puissance athlétique et intelligence tactique, le Portugais est devenu une référence absolue à son poste. Et il aborde le tournoi en pleine confiance, avec un palmarès et une forme qui forcent désormais le respect dans toutes les grandes ligues.

Cole "Cold" Palmer est devenu l’un des phénomènes les plus captivants du football anglais. À 22 ans seulement, le milieu offensif de Chelsea s’impose comme un créateur hors pair, capable de distiller des passes décisives dans les espaces les plus serrés, tout en étant l’un des meilleurs frappeurs du gauche en Europe.

Lors de la saison écoulée, il a signé 15 buts et 12 passes décisives toutes compétitions confondues, portant les Blues vers un titre en Ligue Europa Conférence. Sa vision du jeu, sa capacité à ralentir ou accélérer le tempo à sa guise, et cette patte gauche soyeuse font de lui un joueur essentiel dans l’animation offensive de Chelsea.

Et ce frisson soudain que vous ressentez ? Ce n’est pas le vent. C’est juste Palmer qui entre en scène.

Par ses propres standards, Jude Bellingham a connu une saison « en baisse » au Real Madrid. Une année en demi-teinte… ponctuée de 14 buts et 14 passes décisives. Vingt-huit contributions décisives, toutes compétitions confondues, un total qui le place malgré tout parmi l’élite mondiale.

À seulement 21 ans, l’international anglais incarne l’idée même du milieu de terrain moderne. Sa capacité à casser les lignes balle au pied, son aisance dans les transitions offensives, et surtout sa vision panoramique du jeu, font de lui l’un des milieux les plus complets de la planète.

Aux côtés de Federico Valverde, il forme un duo d’une complémentarité rare au cœur du système madrilène, alliant puissance, projection et justesse. Mais Bellingham ajoute à cela une vraie menace offensive, qui fait souvent pencher la balance dans les grands rendez-vous.

Il a manqué l’immense majorité de la saison 2024-2025 en raison d’une grave blessure au genou (rupture du ligament croisé antérieur). Mais Rodri reste le Ballon d’Or en titre, et il s’apprête à effectuer son grand retour lors de la Coupe du monde des clubs.

Le milieu de terrain espagnol n’a disputé que 28 minutes en deux apparitions en fin de saison, juste après sa convalescence. Mais son importance dans l’entrejeu de City ne fait aucun doute : Rodri est, à son poste, le meilleur joueur du monde.

Véritable tour de contrôle au milieu, il affiche un palmarès exceptionnel : triplé historique avec Manchester City en 2023, puis sacré champion d’Europe avec l’Espagne l’été suivant. Ce Club World Cup représente une occasion rêvée pour lui de rappeler à la planète football à quel point il est indispensable. Tous les regards seront tournés vers lui.

Vini Jr. est un joyau du football moderne. Depuis cinq ans, il incarne à lui seul l’héritage brésilien au plus haut niveau. Véritable artiste du ballon, il enchante chaque rencontre par sa vivacité, ses dribbles enivrants et sa capacité à déstabiliser n’importe quel défenseur dans les un-contre-un.

Avec le Real Madrid, il forme désormais un trio explosif aux côtés de Kylian Mbappé et Jude Bellingham, l’un des plus redoutables d’Europe dans les 30 derniers mètres. Vinicius, c’est aussi un finisseur clinique, capable de faire la différence dans les moments clés, et un poison en transition, grâce à une vitesse supersonique sur l’aile gauche.

Déjà double vainqueur de la Coupe du monde des clubs (2019, 2022), le Brésilien vise désormais un troisième sacre cet été avec les Merengue.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, Ousmane Dembélé est l’un des favoris pour le Ballon d’Or 2025 à l’approche de la Coupe du monde des clubs. Et s’il parvient à mener le PSG vers un nouveau titre cet été, son dossier pour la prestigieuse distinction ne ferait que gagner en poids.

Auteur d’un triplé historique avec Paris, l’attaquant français sort de la meilleure saison de sa carrière : 33 buts, 15 passes décisives, soit 48 contributions décisives en 49 matchs toutes compétitions confondues. Une régularité étincelante pour un joueur longtemps jugé inconstant.

L’ex-Barcelonais a opéré un virage tactique cette saison en abandonnant son rôle de pur ailier pour évoluer plus dans l’axe. Un repositionnement payant, qui a révélé une nouvelle facette de son jeu. À 28 ans, Dembélé aborde le tournoi comme l’un des joueurs les plus attendus de la compétition.

L’attaquant vedette de City est l’un des plus létaux de la planète face au but. Avec un style qui n’est pas sans rappeler Zlatan Ibrahimovic, Haaland est presque impossible à stopper lorsqu’il est lancé. À 1,94 mètre, l’attaquant norvégien allie puissance brute et sang-froid clinique dans la surface, ce qui fait de lui l’un des butteurs les plus redoutés d’Europe.

Son gabarit impressionnant ne l’empêche pas de posséder une vitesse de pointe dévastatrice, qui en fait une menace permanente dans toutes les phases du jeu : sur coups de pied arrêtés, en transition ou dans les petits espaces. Sous la houlette de Guardiola, il a encore enrichi son registre et s’est affirmé comme l’un des attaquants les plus complets au monde.

Cet été, à la Coupe du monde des clubs, Haaland fera partie des grands noms à surveiller, tant son efficacité pourrait faire la différence dans les grands rendez-vous.

Il existe mille façons de décrire Mbappé, mais la plus juste reste sans doute celle-ci : un véritable ovni du football. Unique en son genre, le Français combine technique de classe mondiale, finition clinique et intelligence de jeu supérieure. C’est un attaquant complet, au sommet de son art.

Aujourd’hui, il est l'un des meilleurs joueurs du monde. Il a pris le relais de Lionel Messi et Cristiano Ronaldo, désormais partis d’Europe, et n’a pas manqué l’occasion de s’imposer comme le nouveau roi, tant avec son club qu’en sélection.

Au Real Madrid, Mbappé incarne tout ce qu’on peut attendre d’un attaquant dans les trente derniers mètres. Et lors de cette Coupe du monde des clubs, il sera le joueur le plus redouté de la compétition. Il est numéro un, et il entend bien le prouver cet été.