Lamine Yamal accusé par une femme, le gros scandale !

Une simple image et tout dérape. Sur le cliché, Yamal sourit aux côtés de Fati Vazquez. Lui a 17 ans, elle autre en affiche 29. Les réseaux s’emballent, le mot « liaison » surgit, quelques influenceurs hurlent au scandale. Les plus virulents dégainent des accusations lourdes. L’intéressée répond immédiatement, sans détour : « Je me fais littéralement écraser, et c’est incroyablement injuste. Tout d’abord, j’ai 29 ans - je n’ai même pas encore 30 ans. Je n’ai rien fait de mal, je n’ai blessé personne… Quand c’est un homme plus âgé, personne ne dit rien. Mais quand c’est une femme avec un homme plus jeune, tout d’un coup, c’est un problème. J’ai juste passé quelques jours avec lui,  ce qui est exactement ce que l’on voit sur les photos de couverture, et c’est tout. Je ne dirai rien de plus, je ne veux pas en faire un scandale, parce que pour moi, ce n’est pas nécessaire ».

Vazquez pointe l’indulgence accordée aux hommes mûrs qui fréquentent des partenaires beaucoup plus jeunes. Elle rappelle son droit à la tranquillité. Dans l’ombre, l’entourage de Yamal insiste : aucune histoire sérieuse, juste des vacances communes. La presse catalane recadre : la loi espagnole fixe 16 ans comme seuil du consentement, donc aucun délit ici. L’agitation, pourtant, ne retombe pas.

À peine la défense de Vazquez publiée, une autre voix émerge. Claudia Bavel (29 ans), créatrice de contenus pour adulte, apparaît sur le plateau de TardeAR et balance sa version. Elle affiche des captures d’écran et fait des révélations, qui vont réagir sur la toile : « Lamine m’a dit : "viens chez moi". Je lui ai dit : "il y a trop de différence d’âge parce que j’ai presque 11 ans de plus que toi, tu ne trouves pas ?"" Il m’a dit : "non c’est parfait."" Moi, j’attendais qu’il ait 18 ans ».

Sur Instagram, elle enchaîne : « Puisque Lamine Yamal a évoqué notre prétendue relation sur TardeAR, je trouve logique de partager ma version des faits avec clarté et respect. Il prétend vivre avec sa mère mais en réalité il vit seul. Il dit m’avoir rejeté alors que c’est lui qui a cherché à me contacter et a insisté pour que je le rencontre. Il nie notre rencontre bien que nous nous soyons croisés lors de plusieurs événements. Je demande respectueusement que cessent les messages offensants et diffamatoires. Je n’ai jamais eu de relation avec un mineur, je n’ai jamais organisé de rencontre et je n’ai jamais eu de projet impliquant la célébrité ou l’argent. La seule chose sur laquelle nous sommes d’accord, c’est qu’aucune rencontre ni situation n’a jamais eu lieu entre nous ».

Le joueur garde le silence, ses représentants activent pourtant la cellule de crise. Avocats et communicants analysent chaque mot, chaque capture. Objectif : étouffer toute fausse information, protéger l’image de l’adolescent. Le FC Barcelone surveille la situation, prêt à intervenir si la justice s’en mêle.

Deux femmes, 29 ans chacune, insistent sur leur innocence et refusent les étiquettes de « prédatrice » ou « chasseuse de prime ». Le public divise son jugement : certains défendent la liberté de chacun, d’autres dénoncent l’écart d’âge. Psychologues et sociologues invités sur les plateaux soulignent la pression vécue par les stars mineures dans l’ère numérique.

Sur le terrain, Yamal reste l’attraction majeure de la saison passée : buts, passes, dribbles, records de précocité. Les techniciens barcelonais prévoient une préparation estivale sur mesure pour consolider son physique encore en croissance. La polémique tombe au pire moment : entre négociations de contrats publicitaires et avant‑saison, chaque titre de presse influence les montants proposés.

Le Barça étudie la possibilité d’un communiqué. Les avocats attendent les preuves complètes promises par Bavel. Yamal, lui, poste des stories avec Neymar, affiche des entraînements individuels et ignore le vacarme. Le jeune crack saura‑t‑il protéger sa tranquillité pour démarrer la nouvelle saison sans surcharge mentale ? Réponse très vite.