Décidément, l'Espagne a bien du mal à entrer dans ses qualifications pour la Coupe du monde 2022. Après avoir été tenue en échec contre la Grèce (1-1) lors de son premier match, la Roja s'est imposée de justesse, dimanche soir, face à la Géorgie (1-2). Un succès obtenu en fin de match grâce à un but de Dani Olmo.
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"De toute évidence, c'est un résultat auquel je ne m'attendais pas. Nous n'avons pas généré de flux d'occasions pour pouvoir marquer plus de buts. Mon travail est d'essayer d'aider les joueurs. Il faut essayer de résoudre les matchs contre tous les rivaux. Chaque match a ses complications", avait expliqué Luis Enrique, le sélectionneur de l'Espagne, après le match nul concédé face à la Grèce. Dimanche soir, il n'a guère été plus rassuré, lui qui a avoué avoir eu très chaud en Géorgie.
"Si nous devons perdre, nous perdons, mais nous devons essayer"
"J'étais au bord de la crise cardiaque. Nous avons beaucoup joué. C'est une récompense méritée, et si certains ne le pensent pas, je m'en fiche. Il n'y a pas de petits rivaux, surtout quand ils se rapprochent du très haut niveau", a ainsi expliqué le sélectionneur ibérique, qui veut rester fidèle à ses principes de jeu.
"Aujourd'hui, il y avait aussi le public qui a poussé. Mais, si nous ne sommes pas capables de nous créer plus d'occasions, alors nous souffrirons et nous risquons même de perdre. Si nous devons perdre, nous perdons, mais nous devons essayer. Peu importe si nous échouons, l'important est d'essayer jusqu'au bout", a-t-il assumé.
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Prochain rendez-vous pour la Roja : mercredi, face au Kosovo, toujours pour le compte des qualifications pour la Coupe du monde 2022. Autant dire que cette fois, Alvaro Morata et ses partenaires seraient bien inspirés de l'emporter avec la manière, histoire de se rassurer à quelques mois de l'Euro 2021.