L’année 2025 restera gravée dans l’histoire du Paris Saint-Germain. Le club a soulevé cinq trophées, dont une Ligue des champions écrasante face à l’Inter Milan (5-0), confirmant son statut de géant européen. Mais derrière les célébrations, un constat inquiétant se dresse : jamais le PSG n’avait disputé autant de matchs sur une période aussi courte. Luis Enrique en a pris acte et prépare désormais une gestion radicalement différente de son effectif.
AFPPSG : Luis Enrique impose son véto, plus rien ne sera comme avant !
AFPUne saison 2025 sous pression
Le PSG a vécu un calendrier surchargé. Entre la Ligue des champions, la Ligue 1, les coupes nationales et le nouveau Mondial des clubs aux États-Unis, Paris a aligné une quarantaine de matchs en seulement neuf mois. Avec une finale de Coupe du monde des clubs disputée le 13 juillet, la trêve estivale fut réduite au strict minimum. Résultat : une préparation d’avant-saison quasi inexistante et des organismes déjà fragilisés.
AFPLuis Enrique change sa méthode
A en croire les informations rapportées par L’Équipe, l’entraîneur espagnol refuse de continuer sur cette cadence infernale. Pour protéger son groupe, il a décidé d’instaurer plusieurs week-ends de repos au cours de la saison. Une manière d’éviter la saturation mentale et les blessures musculaires, déjà visibles avec l’alerte récente d’Ousmane Dembélé à la cuisse.
Cette gestion n’est pas totalement nouvelle. Luis Enrique avait déjà tenté quelques expérimentations similaires l’an dernier. Mais cette fois, il veut en faire une règle durable.
AFPUn PSG qui peut se le permettre
Avec un effectif pléthorique et une domination quasi incontestée en Ligue 1, Paris dispose de marges importantes pour faire tourner. Luis Enrique entend s’appuyer sur cette supériorité afin d’arriver frais dans les moments clés de la saison, en particulier en Ligue des champions. Son objectif : préserver l’intensité tout en gardant son vestiaire mobilisé et concentré.
Le message est clair : après une année de tous les records, l’entraîneur espagnol impose un virage stratégique. À Paris, la victoire ne se construira plus seulement sur le talent, mais aussi sur la gestion intelligente des forces.
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