Alors que le Paris Saint-Germain se prépare à disputer la deuxième finale de Ligue des champions de son histoire, les supporters se mobilisent en masse pour tenter d’assister au choc face à l’Inter Milan, prévu le 31 mai à l’Allianz Arena de Munich. Ce mardi, le club francilien entame la deuxième phase de la vente des billets, dans un contexte de grande effervescence. Mais les places restantes sont rares et la tension monte.
AFPPSG - Inter : Excellente nouvelle pour les supporters parisiens avant la finale
AFPUne deuxième vague très attendue
Après une première phase de vente lancée vendredi et clôturée lundi matin, réservée uniquement aux abonnés les plus fidèles du Parc des Princes, le PSG donne ce mardi une nouvelle opportunité à d'autres supporters via une vague 2. Les codes d’accès à la plateforme de billetterie seront envoyés en fin d’après-midi aux concernés, qui devront se montrer rapides.
Getty Images SportMoins de 5 000 places encore disponibles
Le club de la capitale dispose d’un quota de 18 000 places pour cette finale de prestige. Cependant, une grande partie a déjà été attribuée, notamment à ses employés, aux familles des joueurs et aux partenaires du club. Il resterait moins de 5 000 billets disponibles pour cette seconde phase. De fait, tous ceux qui recevront un code ne seront pas assurés de pouvoir réserver une place. L’opération devrait générer un fort engouement… et quelques frustrations.
Getty Images SportPas de chance pour les supporters en vague 3
La forte demande a obligé le PSG à mettre en place un système de vagues pour organiser la billetterie. La troisième vague, prévue plus tard, n’aura finalement pas lieu : les abonnés concernés ne pourront pas utiliser leur code. Pour espérer assister à la finale, ces supporters devront se tourner vers les plateformes de revente, où les tarifs explosent.
Getty Images SportUne finale historique qui se mérite
L’attente est immense pour les fans parisiens qui rêvent d’accompagner leur équipe à Munich, pour cette finale décisive contre l’Inter. Mais entre rareté des billets et demande massive, la compétition se joue déjà... en dehors du terrain.
Publicité
