Un milieu de terrain polyvalent français connaît une ascension fulgurante. Étincelant avec le Bayern Munich et désormais buteur avec les Bleus, le joueur de 23 ans suscite une bataille entre plusieurs géants européens. Liverpool, Chelsea et le Paris Saint-Germain sont déjà à l’affût, prêts à se lancer dans une opération coûteuse pour tenter de l’attirer lors du prochain marché des transferts.
AFP
Getty Images SportMichael Olise en pleine explosion
Vendredi dernier, Michael Olise a frappé un grand coup en marquant contre l’Ukraine (0-2) lors des qualifications pour la Coupe du monde 2026. Déjà décisif avec le Bayern Munich en ce début de saison, l’ancien de Crystal Palace s’affirme comme une référence à son poste. À la fois capable d’évoluer sur l’aile droite ou dans une position plus axiale, le gaucher séduit par sa technique et son intelligence de jeu.
Getty ImagesLes géants anglais déjà sur le coup, Paris entre dans la danse
A en croire les informations de TBR Football, Chelsea et Liverpool ont manifesté un intérêt concret pour le meneur de jeu tricolore. Les deux clubs de Premier League surveillent attentivement sa situation et pourraient dégainer des offres dès l’ouverture du mercato estival de 2026.
Le PSG suit lui aussi de très près le joueur. La stratégie de Nasser Al-Khelaïfi et de Luis Campos, centrée sur l’arrivée de jeunes talents français, pourrait les mener jusqu’à Munich. Après Barcola, Doué, Chevalier et Dembélé, le club parisien vise désormais Olise, dont le profil plaît énormément à Luis Enrique. L’entraîneur espagnol apprécie particulièrement sa polyvalence et sa capacité à s’adapter à différents systèmes.
Getty Images SportUn transfert à prix fort
Débarqué au Bayern l’été dernier pour 55 millions d’euros, Olise reste lié au club allemand jusqu’en 2029. Pour l’arracher à la Bavière, les prétendants devront franchir la barre symbolique des 100 millions d’euros. Le PSG acceptera-t-il de casser sa tirelire pour l’international français, déjà sélectionné à 9 reprises avec les Bleus ? L’avenir le dira, mais une chose est sûre : la concurrence s’annonce féroce.