La Juventus ne veut pas perdre de temps sur le marché des transferts. Après avoir conclu l’arrivée de Jonathan David sans indemnité, les dirigeants turinois rêvent d’associer le Canadien à un autre francophone : Randal Kolo Muani. Le Français, qui a retrouvé des sensations en fin de saison avec 10 buts et 3 passes décisives en 22 apparitions, figure tout en haut de leur short-list.
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Getty ImagesUne tentative de prêt qui ne passe pas
Selon les informations de Gianluca Di Marzio, la Vieille Dame explore la possibilité d’un prêt avec option d’achat. Une solution qui aurait ses avantages pour les finances de la Juventus, mais qui ne plaît pas du tout au PSG. À Paris, les cartes sont sur la table : le club veut un transfert sec. Pas de discussions sur une formule à tiroirs, encore moins de concessions.
Le Paris Saint-Germain a fixé le tarif. Et celui-ci est bien connu dans les coulisses du marché : 45 millions d’euros. Un chiffre largement inférieur aux 90 millions misés il y a deux ans pour faire venir Kolo Muani de Francfort, mais jugé raisonnable par les dirigeants parisiens. Le journaliste Nick Semeraro l’a confirmé : le PSG ne veut plus perdre de temps. Quitte à faire jouer la concurrence.
Getty ImagesLa Premier League entre dans l’équation
Pour éviter toute négociation molle, Paris envisage de proposer l’attaquant à plusieurs cadors d’Europe, dont de la Premier League anglaise. Objectif : faire monter les enchères. Les pensionnaires de Premier League, toujours bien lotis financièrement, pourraient faire basculer le dossier en offrant le montant souhaité.
Getty ImagesLa Juve hésite entre Osimhen et Kolo Muani
De son côté, La Gazzetta dello Sport ajoute ce jeudi une pièce dans la machine. En interne, la cible numéro un e la Juventus reste Victor Osimhen. Mais les exigences de Naples refroidissent Turin, qui garde Kolo Muani sous le coude en cas d’impasse. En parallèle, Chelsea continue d’avancer ses pions sur le buteur nigérian. Selon le média italien, le PSG serait prêt à accepter le prêt proposé par la Vieille Dame, s’il est assorti d’une option d’achat obligatoire. Paris ne veut pas perdre de temps.