Ayant fait le choix de quitter son club formateur qu’est l’Olympique Lyonnais à l’été 2019, Nabil Fekir avait surpris son monde en rejoignant le Real Betis.
Une régression pour certains, un tremplin pour rejoindre un club plus huppé pour d’autres. Après une saison en Andalousie, le champion du monde a livré une copie correcte sans forcément avoir tout casser sur son passage (7 buts et 7 passes en 32 matches de Liga).
Néanmoins, Fekir garde une belle cote à travers l’Europe et son nom est récemment sorti du côté de la Russie et du Zenit Saint-Pétersbourg. Arrivé cet été sur le banc, Manuel Pellegrini compte sur son Français.
"Nabil peut évoluer à gauche, à droite ou derrière l’attaquant. Mais il restera toujours un joueur offensif. C’est un élément qui est censé être décisif dans les 25 derniers mètres du camp adverse."
Fekir a l'Euro en tête
Néanmoins, l’ancien entraîneur de Manchester City est conscient que beaucoup de choses peuvent bouger d’ici au 5 octobre prochain. Surtout que Fekir est l’une des grosses valeurs marchandes du Betis.
"Concernant Nabil, et c’est pareil pour William Carvalho, il peut y avoir beaucoup d’équipes intéressées à leur sujet. Mais ce sont des joueurs à forte valeur marchande donc je ne pense pas que le club va vouloir les vendre s’il n’y a pas de grandes offres."
La porte est fermée mais pas forcément à double tour.