L’Olympique de Marseille est en train de vivre un feuilleton qui captive ses supporters. Alors que le mercato d’été touche à sa fin, un dossier inattendu prend de l’ampleur : Dani Ceballos a clairement affiché son désir de rejoindre le Vélodrome. L’international espagnol est même prêt à bousculer la direction du Real Madrid pour obtenir son transfert vers à l’OM.
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AFPDani Ceballos veut rejoindre l’OM
Depuis le début de la semaine, l’OM s’est positionné sur Dani Ceballos, un nom qui a immédiatement surpris les observateurs. Pablo Longoria et Medhi Benatia, connus pour leurs paris audacieux, voient en lui le profil idéal pour renforcer l’entrejeu marseillais. L’Espagnol, formé au Betis et toujours lié au Real Madrid, est sensible à cette approche et s’imagine déjà sous le maillot olympien.
Selon la presse espagnole, l’ancien joueur d’Arsenal, prêté par le passé en Premier League, est séduit par la perspective d’évoluer sous les ordres de Roberto De Zerbi.
Getty Images SportDani Ceballos met la pression sur le Real Madrid pour l’OM
Ce qui était au départ une piste ambitieuse est en train de se transformer en bras de fer. D’après Matteo Moretto, Dani Ceballos insiste pour quitter la capitale espagnole et rejoindre Marseille. Le milieu de terrain andalou, conscient que son temps de jeu à Madrid reste limité, a pris l’initiative de pousser sa direction à ouvrir la porte.
Son objectif est clair : débarquer au Vélodrome avant la fermeture du mercato. Le joueur veut rapidement tourner la page madrilène afin de retrouver un rôle majeur.
Getty Images SportDani Ceballos trop cher pour Marseille
Le Real Madrid ne semble pas disposé à brader Dani Ceballos. Toujours selon les médias espagnols, les Merengues réclament environ 15 millions d’euros pour libérer leur joueur. À ce montant s’ajouterait un salaire conséquent, un paramètre non négligeable pour un club comme l’OM.
Malgré ces obstacles financiers, les dirigeants marseillais, qui explorent déjà l’alternative Florentino Luis (Benfica), étudient sérieusement l’opération, convaincus que l’apport technique et l’expérience de l’Espagnol compenseraient largement l’investissement initial.