Pour sa deuxième participation de suite en Ligue des champions, l’AS Monaco n’a pas été épargnée par le tirage au sort de la phase de ligue. Les hommes d’Adi Hütter devront composer avec un calendrier qui les oppose à plusieurs cadors européens, et où chaque point comptera pour espérer intégrer le top 24 qualificatif. La marche sera haute, mais l’ASM a déjà prouvé par le passé sa capacité à surprendre les plus grands.
AFP
AFPDes affiches de prestige face aux géants européens
Parmi les rendez-vous phares, Monaco accueillera Manchester City au Louis-II. Un adversaire qui rappelle de bons souvenirs aux supporters monégasques, puisque le club avait éliminé les Anglais en 2017 avec l’éclosion d’un certain Kylian Mbappé. Mais le rapport de force a changé et l’équipe de Pep Guardiola s’avance en favorite. Dans le même esprit, un déplacement périlleux attend les Monégasques au Santiago Bernabéu contre le Real Madrid, un monument européen. La Juventus figure également au programme, un club qui a déjà barré la route de Monaco par le passé, en 1998 comme en 2017.
AFPDes obstacles intermédiaires à gérer
En dehors de ces géants, Monaco devra aussi se mesurer à Tottenham, récent vainqueur de la Ligue Europa. Le club londonien reste redoutable, mais cette affiche paraît plus équilibrée que celles contre City ou le Real. Les performances lors de ce genre de confrontations directes détermineront largement les ambitions de l’ASM dans cette phase de ligue.
AFPDes adversaires plus accessibles pour espérer
Le reste du calendrier offre des opportunités : un déplacement en Norvège face au Bodo Glimt, réputé difficile en raison des conditions climatiques, mais à la portée des Monégasques, ainsi qu’une confrontation face à Galatasaray, auréolé d’un mercato ambitieux mais inconstant sur la scène européenne. Enfin, le duel face aux Chypriotes de Pafos, novices dans la compétition, représente l’occasion idéale pour engranger des points précieux.
Getty Images SportL’ASM entre défi et opportunité
Ce programme varié, mêlant affiches de prestige et matches plus abordables, illustre le défi qui attend Monaco. Pour espérer franchir ce tour, Akliouche et ses coéquipiers devront capitaliser sur les matches à domicile et ne pas céder face à l’intensité des grands rendez-vous. L’ASM va voyager à travers l’Europe, du Bernabéu aux terres glacées de Norvège, avec l’ambition de prouver qu’elle a sa place parmi l’élite continentale.

