PSG, Nasser Al-Khelaïfi enterre la hache de guerre avec Mbappé

Président du PSG, Nasser Al-Khelaïfi met fin à sa mésentente avec Kylian Mbappé qui quitte le club cet été.

Depuis plusieurs mois déjà, le courant ne passe pas entre le président du Paris Saint-Germain, Nasser Al-Khelaïfi, et l’attaquant Kylian Mbappé. Si la situation se serait envenimée après l’annonce du joueur de partir librement cet été, le patron de la formation francilienne ne souhaite quand même aucun mal à son joueur.

Mbappé snobe son président

Pour mettre fin aux rumeurs qui se sont finalement confirmées, Kylian Mbappé a officiellement annoncé son départ du PSG en fin de saison. Ceci dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. Mais dans cette vidéo, le Bondynois a remercié ses coéquipiers, ses anciens entraîneurs et l’actuel Luis Enrique, de même que les directeurs sportifs Leonardo et Luis Campos. Mais à aucun moment, l’ancien Monégasque n’a mentionné le nom de son président Nasser Al-Khelaïfi dans la vidéo.

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« Je voudrais tout d’abord remercier les coéquipiers, l’ensemble des coéquipiers que j’ai eus, l’ensemble des entraîneurs, Unai Emery, Thomas Tuchel, Mauricio Pochettino, Christophe Galtier et Luis Enrique, les directeurs sportifs Leonardo et Luis Campos de m’avoir toujours accompagné… », avait déclaré l’attaquant de 25 ans sans citer son président.

NAK ne souhaite aucun mal à Mbappé

Ne digérant pas le départ du meilleur buteur de son histoire, le Paris Saint-Germain aurait même manqué de payer le salaire de Mbappé pour le mois d’avril. En dehors de tout cela, le joueur et son président ne partageraient pas une bonne relation ces derniers mois. Mais se confiant au média américain CNN, Nasser Al-Khelaïfi a rendu un bel hommage à Mbappé, lui souhaitant tout le meilleur.

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« Je lui souhaite le meilleur. Il a fait un travail incroyable pour nous pendant sept ans. Il était vice-capitaine, il est arrivé chez nous à 18 ans ou moins et maintenant c'est un grand homme, le meilleur joueur du monde », a lancé le Qatari, qui ouvre la porte à un retour du Bondynois. « On ne sait jamais, peut-être qu'un jour il reviendra en France, c'est ça le football. Il ne mérite que de bonnes choses », a-t-il ajouté.