Liverpool domine la Premier League, mais Arne Slot et ses hommes abordent la finale de la Carabao Cup face à Newcastle avec des doutes. Leur élimination cruelle en Ligue des champions mardi a laissé des traces, tant sur le plan émotionnel que physique, après une défaite aux tirs au but contre le Paris Saint-Germain.
Pourtant, il ne faut pas oublier qu’il y a un an, les Reds s’étaient rendus à Wembley pour affronter Chelsea dans une situation encore plus compliquée. Privés de dix cadres, dont Mohamed Salah, Dominik Szoboszlai, Trent Alexander-Arnold, Alisson Becker et Diogo Jota, ils avaient malgré tout triomphé.
L’histoire retiendra que les "gamins de Klopp" ont terrassé les "flops à un milliard" des Blues, avec des jeunes comme Jarell Quansah, James McConnell, Bobby Clark et Jayden Danns jouant un rôle décisif après leur entrée en jeu.
Mais ce jour-là, un homme a survolé la rencontre - au sens propre comme au figuré. À deux minutes de la fin de la prolongation, Virgil van Dijk s’est élevé au premier poteau pour reprendre un corner de Kostas Tsimikas et offrir la victoire aux siens, concluant ainsi une prestation défensive impériale.
Pour son premier match en finale en tant que capitaine, il a répondu présent. S’il en fait autant ce dimanche - dans ce qui pourrait aussi être son dernier grand rendez-vous avec Liverpool - sa légende à Anfield n’en sera que renforcée.





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