Le conflit remontait à l'été 2019, quand Adil Rami avait licencié pour faute grave par l'Olympique de Marseille, avant de saisir le conseil des prud'hommes.
Rami débouté par les prud'hommes
Selon les informations de L'Equipe, le défenseur, qui évolue désormais à Troyes, a été débouté de ses demandes.
Il réclamait notamment 4 millions d'euros, correspondant au salaire de ses deux années de contrat restantes au moment de la rupture, ainsi que des dommages et intérêts liés au préjudice subi.
De son côté, le club avait reproché à son joueur d'avoir participé à l'émission Fort Boyard sans avoir prévenu et alors qu'il était blessé.
Une justification que n'a donc pas remis en cause le conseil des prud'hommes, alors que le joueur devrait faire appel, toujours selon les informations de L'Equipe.
Prochain match:
L'OM devra quand même verser de l'argent à Rami
Le quotidien affirme toutefois que le champion du monde a obtenu gain de cause sur une partie du dossier concernant des retenues sur salaire consécutives à un trop-perçu.
Ces dernières ont été jugées "abusives" par la justice, qui a donc condamné le club à les rembourser à son ancien joueur, en plus d'un dommage et intérêt.
A l'automne dernier avant de retrouver le Vélodrome avec l'ESTAC, Adil Rami s'était exprimé sur le sujet, affirmant une nouvelle fois n'en vouloir qu'à un homme : Jacques-Henri Eyraud. "Tout le monde connaît mon combat, qui n’est pas contre le club ou les supporters, mais contre une personne que je déteste et qui a tenté de manipuler des gens contre moi", affirmait-il alors.
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