L'Olympiakos a bouclé l'arrivée de Sokratis Papastathopoulos en provenance d'Arsenal.
Le défenseur grec a été libéré par les Gunners plus tôt en janvier, et un certain nombre d'équipes avaient été pressenties pour l'enrôler.
Liverpool, qui a des problèmes en défense centrale avec les défections de Joe Gomez et de Virgil van Dijk, aurait envisagé de faire une offre au joueur. Cependant, les pourparlers n'ont pas abouti et le joueur de 32 ans a finalement pris la décision de retourner dans son pays.
Sokratis a signé un accord jusqu'à l'été 2023, et il rejoint une équipe de Pirée qui compte 11 points d'avance au sommet de la Super League grecque.
L'arrière central a quitté Arsenal sans avoir disputé le moindre match cette saison suite à sa mise à l'écart des équipes de Premier League et d'Europa League. Sa dernière apparition c'était en tant que remplaçant entré dans les toutes dernières minutes de rencontre de Cup contre Chelsea en août dernier.
À son départ, le directeur technique du club, Edu, a déclaré: "Au nom de Mikel (Artetaà, de nos entraîneurs, de nos joueurs et de tout le monde au club, je voudrais remercier Papa pour sa contribution au club. Il a été un élément important de notre groupe et a toujours été un professionnel modèle. Les négociations pour mettre fin à son contrat ont été menées en collaboration et nous souhaitons à Papa et à sa famille bonne chance pour l'avenir."
Le manager des Gunners, Mikel Arteta, a demandé à son club de mieux gérer les contrats des joueurs, après que les Gunners aient été forcés de payer de gros salaires au défenseur alors qu'il ne figurait pas dans ses plans. "Vous ne voulez pas retrouver cette position, c'est sûr. Pas pour le joueur, pas pour le club. Mais cela se produit de plus en plus dans tous les clubs et cette situation que vous pouvez voir dans d’autres clubs se passe comme ça. Je pense que vous devez avoir cette communication ouverte, évidemment pour l'empêcher autant que possible et si elles se produisent, prenez simplement une décision et n'essayez pas de retarder une situation qui ne fonctionne pas plus longtemps. Il est donc parfois impossible de voir ce qui va se passer dans trois ans. Nous avons essayé de résoudre ces situations au début de l'été, pour essayer d'éviter ce que nous avions, mais parfois ce n'est pas possible aussi. "