Mercato, Rivaldo insiste : il voit Neymar au Real Madrid

Pour Rivaldo, le destin de Neymar, qui vient de vivre un Mondial aussi frustrant que décevant avec la sélection brésilienne, est tout tracé et passe par un retour en Espagne pour l'ancien joueur du Barça qui est devenu le joueur le plus cher du monde en ralliant le PSG l'été dernier contre la modique somme de 222 millions d'euros.

"Tôt ou tard, il finira au Real Madrid. Il restera probablement à Paris pour au moins une année supplémentaire, mais dans un marché des transferts aussi fou, tout peut arriver. Lorsqu'il dit qu'il va continuer au PSG, je le crois, mais d'après ce que je sais et ce que j'entends, j'ai tendance à penser qu'il portera un jour le maillot blanc.", a estimé Rivaldo dans un entretien accordé à un sponsor dans des propos relayés par Maxifoot.

En mai dernier, Rivaldo militait déjà pour que ce transfert se produise. Le Ballon d'Or 1999 et champion du monde 2002, avait par ailleurs estimé que Neymar ne deviendrait pas le meilleur joueur du monde en restant en France. 

"Il doit jouer dans un des plus grands clubs du Monde. Au Paris Saint-Germain, avec le nouveau coach, Thomas Tuchel, il ne sera jamais nommé meilleur joueur du Monde. C’est pour ça que c’est important d’aller au Real Madrid pour Neymar", avait lâché l'ancien numéro 10 de la Seleçao dans des propos accordés à Sport Bild.

Lors de la récente tournée parisienne à Singapour, le coach Thomas Tuchel avait évoqué l'état d'esprit de Neymar avant la nouvelle saison : "Toute chose impacte toute chose. Je ne pense pas qu'il ait besoin de ça pour être surmotivé. Bien sûr toute l'équipe du Brésil attendait plus et cela affecte les joueurs c'est évident. Tout le monde au club veut l'aider à ce qu'il se sente bien au plus vite, qu'il se mette en tête les prochains objectifs et laisse ce qui s'est passé à la Coupe du Monde derrière lui. C'est un grand joueur, il sait comment gérer les victoires comme les défaites. Dans le sport vous avez des challenges et il rebondira vite. C'est un champion", avait-il indiqué.