PSG, Timothy Weah explique son choix mercato : "Ma mère m'a dit de rester"

Lancé dans le grand bain par Unai Emery la saison dernière, Timothy Weah a inscrit son premier but dans l'élite face à Caen lors de la première journée de championnat. L'international américain a découvert un nouvel entraîneur cet été en la personne de Thomas Tuchel et espère obtenir du temps de jeu cette saison. Mais il aurait également pu être prêté par le PSG, à Strasbourg notamment, pour jouer plus régulièrement.

Après la rencontre entre les Etats-Unis et le Brésil, Timothy Weah a justifié son choix de rester au PSG cet été : "Cela été une décision familiale. Ma mère pense que je suis encore très jeune et tendre. Il y a encore du travail à faire. Elle a pensé que, si j’allais dans une équipe moins forte évoluant dans le même championnat, les attentes allaient être trop élevées à mon sujet. Et je ne me sens pas encore assez fort pour ça".

"En janvier ? Qui sait"

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"Je suis toujours prêt pour relever un nouveau challenge, mais en ce moment, je sens que m’entraîner au PSG avec des joueurs comme Neymar ou Thiago Silva me rend meilleur chaque jour. Je pense que c’est le chemin à suivre. C’est le choix que nous avons fait", a ajouté l'international américain qui risque de jouer beaucoup moins avec l'arrivée de Choupo Moting.

Timothy Weah considère que jouer au PSG lui bénéficie beaucoup : "Jouer dans l’un des meilleurs clubs du monde te donne beaucoup de confiance quand vous retrouvez votre sélection. Je ne dis pas que c’est le même niveau, mais vous vous sentez plus confiant quand vous avez joué avec des joueurs comme Neymar. Vous savez comment ils jouent. Vous êtes avec eux chaque jour, ils sont comme des frères".

En revanche, l'international américain a laissé la porte ouverte à un départ lors du mercato hivernal en fonction de la façon dont se déroulera la première partie de saison : "Je suis encore jeune, je continue d’apprendre. Il reste encore du temps, je n’ai que 18 ans. Mais qui sait ? En janvier, quand le mercato rouvrira ses portes, nous verrons bien ce qu’il se passera".